Dupligrafic

On ne passe pas comme ça de la reprographie au grand format

Qu’est-ce qui se passe quand votre entreprise démarre comme reprographe mais que la demande l’amène maintenant à faire 80% de grand format ?  Avec des clients comme Disneyland Paris qui veulent un important travail d’impression, rapide et économique, et de la meilleure qualité ? Mais l’administration n’est évidemment pas capable de gérer les spécifications typiques du grand format. Dupligrafic savait qu’il était grand temps de faire fonctionner l’administration de manière intégrée et spécifique au marché.

A-t-on encore besoin de dire qu’une “mauvaise” administration manuelle ne procure vraiment aucun enregistrement (d’heures et matériels), ni rapport, ni vue d’ensemble ? Ça n’engendre donc principalement que des pertes de temps et des erreurs ! Mais l’ex-reprographe a pris le taureau par les cornes car ses 2.500 factures par an ne se font pas toutes seules. Il faut pour cela une automatisation administrative.

Reprographie, condamnée à mort ?

La reprographie (Latin : "reproducere" = produire à nouveau ; Grec : “graphein” = écrire) est le nom récapitulatif international convenu pour toutes les techniques utilisant l’action de la lumière, les rayonnements infrarouges ou les ultraviolets sur un matériel qui leur est sensible, pour la fabrication de (photo)copies d’originaux écrits, imprimés, dessinés ou provenant de photographies. De manière moins exacte, on résume également les techniques d’impression comme impression au pochoir, petite impression offset et duplication à l’aide de papier carbone ou autocopiant, au concept de reprographie. La distinction entre la reprographie au sens strict du terme et les techniques d’impression est atténuée depuis que l’on utilise des photocopieuses à grande échelle pour la réalisation de grandes quantités. (®Wikipedia)

Adapt to change

Dupligrafic a donc dû bien réfléchir. D’un côté, la reprographie est devenue une vraie niche et l’on ne peut jeter comme ça « l’enfant avec l’eau du bain ». D’un autre côté, l’appel du grand format se faisait de plus en plus fort. Et quand Disneyland Paris a frappé à la porte, on a ouvert la porte. On a investi dans le parc de machines et Dupligrafic a évolué jusqu’à faire 80% de grand format.

Exactement comme on pouvait s’y attendre, le bât a commencé à blesser à hauteur du backoffice. Car on y utilisait toujours un système complètement concentré sur la reprographie et "associés". Mais le grand format est arrivé avec ses propres spécifications et "particularités". On devait donc faire autrement. Et vite. Car on perdait beaucoup de temps, on n’avait aucune vue d’ensemble et les données devaient tout simplement être recopiées régulièrement d’un système à l’autre, ce qui engendrait des erreurs inévitables.

80% GF + 20% reprographie = 100% MultiPress

Le soulagement indispensable est venu de l’automatisation administrative. MultiPress est en effet modulaire et il y a à peine deux ans, il a mis sur le marché un module Grand Format complètement révisé. Indépendamment du fait que les 20% restant ont soigneusement trouvé une place dans le même MultiPress.

Le résultat est que Dupligrafic a maintenant un système central intégré. On a réalisé une parfaite intégration à leur propre plateforme B2B et le suivi de la production, aussi bien externe qu’interne, se fait de façon claire et transparente. L’avenir tend les bras !